Dans les médias
Alexis a suivi les récents états généraux du cinéma français. Quelles perspectives en tirer pour l’avenir de notre industrie ? L’espoir est-il de mise ? Voilà un bout de réponse.
Pour des états généraux du cinéma : «Il est vraiment temps que tout le monde se réveille»
Ils en appellent à la tenue d’états généraux du cinéma comme un choc des consciences, ou une nécessité «d’intérêt général», parce qu’il n’y a pas de raison que ceux qui créent le cinéma ne soient pas ceux qui pensent sa crise – notamment à l’heure d’un premier bilan de fréquentations toujours anormalement basses en cette rentrée, estimé à -34 % par rapport à septembre 2019.
Plongé dans la crise, le cinéma français demande au gouvernement l’organisation d’Etats généraux
La profession s’est réunie ce jeudi 6 octobre à l’Institut du monde arabe pour une après-midi d’interventions denses mais encore ignorées de leurs destinataires, le CNC et le ministère de la Culture.
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Désaffection des salles, concurrence des plateformes, uniformisation des œuvres… Les professionnels, qui se sont réunis jeudi 6 octobre à Paris, l’affirment : le secteur du septième art, en crise, a grand besoin d’une réforme.
Une partie du cinéma français, en plein doute, appelle à des «États généraux»
Suite à une tribune parue dans Le Monde du 17 mai 2022 et intitulée “Les choix politiques de nos institutions fragilisent gravement le cinéma” – signée par des centaines de personnalités et rejointes par de nombreuses organisations professionnelles, une initiative a été prise par des professionnels du secteur de convoquer en urgence de nouveaux États généraux du cinéma français, le 6 octobre.
«Le Centre national du cinéma met en œuvre le contraire d’une politique culturelle»
Inquiet de la baisse de la fréquentation, un collectif de professionnels se réunit ce jeudi 6 octobre pour appeler à tenir des états généraux du cinéma. Des spectateurs, devenus trop rares, expliquent à La Croix la spécificité de ce moment face au grand écran.
« Tirer un signal d’alarme au nom de l’amour du cinéma » : voilà l’objectif d’un collectif informel constitué notamment de producteurs.rices, réalisateurs.rices, distributeurs.rices, techniciens.iennes indépendants qui organisait, ce jeudi 6 octobre à l’Institut du Monde Arabe à Paris, un appel à des « États généraux du cinéma ».
Le cinéma en France connait une période difficile : depuis la fin de l’épidémie de Covid, les entrées ne sont toujours pas reparties comme avant la crise, contrairement par exemple au tourisme. L’influence des plateformes et la raréfaction des grands succès sont des poids pour l’industrie.
Une partie du cinéma français tire la sonnette d’alarme et appelle à des “Etats généraux”
Alors que les salles de cinéma ont connu un mois de septembre catastrophique en terme de fréquentation et que les plateformes de streaming montent en puissance, une partie de la profession manifeste son inquiétude pour l’avenir du cinéma français et son système de financement unique au monde.
Le cinéma français, en crise, appelle à des états généraux mais le gouvernement reste muet
Tout un pan du secteur français du cinéma conteste la politique du gouvernement et l’action du CNC. Et appelle à la tenue d’« états généraux » du cinéma. Du côté du ministère de la Culture et du CNC, on est revenu au cinéma muet. C’est « no comment »
Le cinéma, emblème d’une politique culturelle fantoche
Alors que des professionnels lancent une journée d’appel à des états généraux du cinéma, jeudi 6 octobre, la politique culturelle sur le sujet demeure aussi introuvable que problématique.
De fraternité, donc, il sera question aujourd’hui. Celle, en risque de se briser, dans la “grande famille du cinéma français”, pour reprendre l’expression consacrée, entre les pouvoirs publics et sa partie la plus créative, alors que dans la crise profonde que traverse le secteur depuis deux ans, les premiers, tout occupés à sauver et promouvoir l’industrie qu’il est par ailleurs, se voient reprocher par la seconde d’oublier que, comme disait Malraux, le cinéma est d’abord un art. Une journée d’appel à des Etats Généraux du Cinéma s’est tenue jeudi.